Pour avoir survécu un certain temps, on voit tomber les compagnons de route et les témoins de sa jeunesse les uns après les autres. La lecture du dernier livre de Jacques Drillon, Coda, m'a fait revisiter ces années-là, avec beaucoup d’amusement : nombreuses petites histoires, portraits féroces, extrêmement méchants parfois, où il s’acharne à coup de virgules et points-virgules sur ses victimes. En même temps, cette lecture a suscité chez moi de la morosité et de la compassion pour son auteur, qui nous a quittés si prématurément.
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