Les programmations des festivals d’été de musique classique sont peu à peu annoncées. Chaque année elles se ressemblent davantage, collent avec affectation à l’air du temps et aux injonctions politiques, nationales ou locales, et bien entendu financeuses.
Pourtant, ce sont des critères strictement musicaux qui devraient être avant tout autre considération clairement défendus par les pouvoirs publics et les subventionneurs divers — sinon, par qui le seront-ils ? On parle ici, par exemple, de répertoire français, de non concentration des affiches autour de pseudo-vedettes qui captent la galette, d’égalité d’accès aussi à de grands artistes dans les différentes régions.
Hélas, ce sont les ambitions “sociétales” ou “environnementales” qui prédominent. Je ne doute pas que les métiers de la musique aient aussi leur part à prendre, dans la revalorisation des compositrices comme dans l'effort écologique au sens le plus large… Mais bon sang ! Il…
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