J’ai visionné pendant le confinement un concert donné à la Philharmonie de Paris par Daniel Barenboïm, et j'y ai découvert le piano que Dany s'est fait tailler sur-mesure, comme il le fait peut-être de ses chemises.
L’instrument est marqué à son nom, gravé en lettres dorées au dessus du clavier, à la place habituellement occupée par la marque, pour tout autre pianiste standard.
Une astucieuse manière j’imagine, de ne jamais oublier qui il est, pendant qu'il en joue.
La parution ces jours-ci sous pochette DG de la nouvelle intégrale des sonates de Beethoven par Daniel Barenboïm (incluant les Diabelli), enregistrée nous dit-on pendant le premier confinement nous rassure heureusement : tout va bien pour les doigts et la tête de l’infatigable musicien, ce qui est une bonne nouvelle, après pas mal de déceptions discographiques.
Il devrait se confiner plus souvent !
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