Pensée en passant.
Comme il faut aujourd’hui des écoles pour tout et pour rien, je constate que telle “école de management aux industries créatives” donne constamment en exemple à sa clientèle d’étudiants un large panel de seconds couteaux, petits pois du métier, venus expliquer leur bonheur de participer à la jardinière de légumes.
Je regarde aussi les intitulés, les contenus, les intervenants de tant de forums professionnels et de formations organisés par des structures diverses y compris le Centre National de la Musique, où se pavanent des professionnels de la profession venus surtout vendre leur salade à des financiers éventuels.
Ces colloques, ces tables rondes et ces débats ont depuis longtemps prouvé leur inefficacité réelle et sérieuse, sauf pour former la presse et l’opinion publique aux idées reçues sur le marché, ou à désigner comme de bonnes pratiques des constatations d’après-coup, suivistes, entérinées quels que soient leurs effets dévastateurs, parfois. Le marché est heure…
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