À l’occasion du départ de Laurent Bayle de la Philharmonie de Paris, on a annoncé que la hache de guerre avait été enterrée avec Jean Nouvel, son architecte, au terme d’un conflit assez vif. Au-delà des rodomontades de l’ancien directeur, reproduites par quelques journalistes complaisants, Le Monde sous la plume de Isabelle Regnier, a heureusement posé le problème vendredi dernier, et assez complètement, comme il aurait dû l’être depuis longtemps.
Le Figaro avait peu avant publié les bonnes feuilles préliminaires à un livre de Laurent Bayle qui ne paraîtra qu’en janvier prochain chez Odile Jacob. N’attendez pas pourtant, à la vue du titre “ Le roman noir de la Philharmonie de Paris”, qu’il y soit question de l’ardoise que Bayle laisse en partant, pour prix de son obstination, et qui a été miraculeusement soldée en même temps que son départ.
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