LA DISCOGRAPHIE NUMÉRIQUE, CE GRAND PROJET DONT ON RÊVE...
Le travers général est aujourd’hui de commenter au lieu de documenter. Ce dont nous avons besoin dans la sphère culturelle numérique, que ce soit des producteurs de disques ou de l’INA, par exemple, ce n’est pas de sélections éditorialisées, mais de mise à disposition, d’exhaustivité, d’information factuelle que les ayants-droits détiennent. Ce travail fondamental doit être réalisé par les organisations qui en ont les moyens et les archives.
Pendant toutes les années du 33T et du CD, un certains nombre d’obstinés se sont employés à compiler et établir les discographies des grands interprètes du passé.
Cela paraît d’abord simple : accrocher sur un fil tous les disques d’un artiste en ordre chronologique. Mais quand on y ajoute les différents formats de supports qui se sont succédé, les rééditions en tous sens, les pressages locaux identiques ou partiels, les produits spéciaux, les disques publicitaires, les échantillons, les licences, les pirates, les bandes de radios… on s’aperç…
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