Ce qui ne va plus du tout à Radio France
Petit inventaire des maux de la radio française de service public…
Petit inventaire des maux de la radio française de service public, en pleine décadence, dont le projet actuel témoigne d’une baisse du niveau d’exigence et d’abandons multiples.
Madame Abdul-Malak est bien partie pour décrocher le pompon de la plus transparente et la plus inutile des Ministres dit “de la Culture”. Il serait plus adapté, au vu de l’évolution des choses, de renommer son maroquin “Ministre du divertissement”, afin de mettre en phase action, et dénomination. Sur la dérive du service public de la radio, l’écoute attentive de ses récentes prises de parole ne semble pas indiquer qu’elle ait la moindre chose à dire.
Les “contrats d’objectifs et de moyens” signés entre Radio France et l’Etat échouent à désigner et à encadrer une mission modernisée de la radio de service public : les critères d’évaluation laissent passer les pires écarts et les plus grands gâchis dans le domaine culturel et musical en …
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