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On apprend par Norman Lebrecht et son Slipped Disc, et c'est certainement vrai, que Hyperion Records, la perle des labels indépendants internationaux de musique classique des les années 80 à 2015, est vendu à Universal. La faiblesse des parutions chez Hyperion au cours des derniers mois était un signe.
Après la cession de harmonia mundi à PIAS qui est détenu à 49% depuis peu par Universal, on constate à cette occasion que la transition numérique des labels indépendants classiques est un immense échec, et un immense gâchis.
Cette vente, au-delà peut-être de la faiblesse du trop buté et butor Simon Perry, qui avait pris la suite de son père, montre qu'il n'y a toujours pas de modèle économique viable pour la musique classique qui puisse permettre le maintien d'un label exigeant et libre, ce qui est la définition d'un label indépendant dans le monde du streaming mainstram dominant.
Si les mots on un sens, ce n'est peut être pas la fin d'une époque, mai…
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