Erato, STP ! On veut voir le derrière de Monsieur Beaucaire !
En tout bien tout honneur, bien sûr
L’exploitation du domaine public du disque, c’est à dire la publication sur CD ou en ligne d’enregistrements commercialisés il y a plus de 70 ans, sans avoir à demander l’autorisation au propriétaire du master ni lui payer de droits, conformément à la loi en vigueur en Europe, nous a permis d’accéder à une culture discographique précieuse, sans avoir à attendre que les détenteurs de droits daignent vouloir s’y pencher.
Prenez ce délicieux Monsieur Beaucaire d’André Messager : je me souviens l’avoir vu dans la vitrine de mon disquaire, sous étiquette Pathé Marconi lorsque j’étais plus jeune. C’était déjà à l’époque un réédition : je ne suis pas si vieux que ça. Depuis que la musique en ligne s’est répandue, il n’était plus exploité par EMI Classics, et pas davantage par Warner Classics qui a racheté le catalogue EMI Classics.
Le temps passant, Warner réédite lentement ses fonds et, n’ayant plus le droit d’utiliser la marque EMI, réécrit l’histoire du disque en faisant passer cet enregi…
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