Il faut oser découcher, puis oser divorcer !
Combien de temps faudra-t-il encore attendre pour que surgisse une révolte chez les artisans et les amateurs de cette musique classique qui ne parvient pas à se faire respecter ?
Combien de temps faudra-t-il encore attendre pour que surgisse une révolte chez les artisans et les amateurs de cette musique classique qui ne parvient pas à se faire respecter ?
Pour que ce genre musical, passion bien inoffensive et minoritaire, puisse découcher enfin, se gouverner un destin séparé, dans un pays qui par ailleurs lui donne, politique de gribouille, tant de moyens d’exister ?
Combien de temps faudra-t-il pour se dépêtrer d’une mélasse paradoxale où coexistent tant de talents et de créativité, et une telle médiocrité des relais et maintenant des espaces du service public censés lui être réservés ?
Oui, découcher, il faudrait oser. Et puis, divorcer d’une industrie de la musique enregistrée dont le modèle économique n’est plus adapté au classique, ce que j’ai suffisamment radoté ici. Il suffirait de quelques initiatives individuelles courageuses des labels, et quelques négociations pour enclencher un mouvement. Mai…
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