Et tout d’un coup Deutsche Grammophon semble se réveiller. Velléitaire depuis longtemps, paré d’un prestige qu’il ne mérite plus, le label ne se signale pourtant pas tout soudain par une politique artistique brillante et aventureuse, non ! Son programme de parutions, c’est toujours le potage jaunâtre et peu ragoûtant de quelques stars surnageant sur des indigences. Mais c’est avec la position commerciale dominante d’Universal dans le numérique et son carnet de chèques bien garni que le label jaune entend se faire passer pour ce qu’il n’est pas. Attention, danger.
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