De l'influence de la musique sur le développement du genre chez les géraniums et la catastrophe écologique à venir...
On entend de partout des voix s’élever sur le plan d’économies engagé par le gouvernement et ses effets sur la dotation des activités culturelles. Le bon sens voudrait qu'on ne puisse pas à la fois avoir applaudi à chaque création de nouvelle structure culturelle lourde installée au fil des 30 dernières années (par exemple, la Philharmonie de Paris), figeant chaque fois un peu plus les moyens disponibles, et maintenant se plaindre au moindre revers de conjoncture. Car les budgets bloqués sur les fastueuses créations laissent peu de marge d’action par la suite, sans déshabiller Paul pour habiller Jacques.
Les plaignants semblent avoir toujours pensé que l'augmentation des budgets serait éternelle, permettant à la fois d'entretenir les gros machins, et de poursuivre le saupoudrage à tout un petit monde qui survit difficilement. Selon leur logique, toute remise en cause de l’existant est interdite.
Mais toute augmentation des crédits étant illusoire en cas de conjoncture contraire, ou de…
Continuez votre lecture avec un essai gratuit de 7 jours
Abonnez-vous à couacs.info pour continuer à lire ce post et obtenir 7 jours d'accès gratuit aux archives complètes des posts.