Trois lecteurs m'ont écrit récemment pour me reprocher gentiment de consacrer un peu trop d'espace aux mouvements de l'industrie du disque classique. Je reconnais que les salades professionnelles sont parfois moins inspirantes que les symphonies de Leif Segerstam ou celles de Havergal Brian. Mais les rebondissements en cours confirment en tout cas que nous sommes à un moment charnière du disque classique indépendant.
En résumé :
Hyperion a été vendu à Universal
Bis a été vendu à Apple
harmonia mundi a été vendu à PIAS, qui a été vendu pour l’instant à 49% à Universal, en attendant la suite.
… et maintenant Chandos est vendu à Klaus Heymann, à lui personnellement et non à Naxos, la société qu’il a créé et dirige encore. Voyons les termes de son communiqué :
"J'ai été ravi d'avoir l'occasion d'étendre et d'approfondir la relation de longue date entre Chandos Records et le Naxos Music Group en matière de distribution et de marketing. J'ai décidé d'acquérir Chandos personnellement pour donne…
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