France Inter fait l’objet de nombreuses critiques en cette période électorale, qui visent en particulier les supposées positions politiques de l’antenne et la litanie féministe, écologiste et “wokiste” dont elle serait saisie.
Moins souvent est relevée la dérive catastrophique de son format musical. Mais maintenant même François Morel y fait allusion dans sa chronique du vendredi. C’est donc que ça doit râler fort, dans le courrier. La semaine dernière nous a gâtés il est vrai, avec la campagne de publicité pour le nouvel album de Metronomy.
Pas mal d’années d’écoute me font penser que la Radio d’État ne saurait délivrer sur le plan politique qu’un point de vue plus ou moins obéissant à ce ce que pensent devoir véhiculer les gens au pouvoir, quelque habillage formel qu’on donne aux nominations. Mais franchement, on a connu pire, sous Alain Peyrefitte ou Michel Poniatowski.
Et donc, que les poncifs du moment occupent l’antenne de France Inter, et ailleurs, reflète simplement l’époque, e…
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