Au cours des années 2003 et suivantes, le label Brilliant Classics s’était lancé dans la publication d’une intégrale Mozart. Cette marque avait alors un deal particulier avec des chaînes de drugstores aux Pays-Bas chez Superdrug et en Allemagne chez Aldi et Rossmann, qui proposaient régulièrement de copieux coffrets de disques classiques réalisés sous forme de produits spéciaux commercialisés en ventes-flash, un peu à la manière de ce que fait Lidl aujourd’hui sur des produits hors-alimentaires, à prix cassés.
Brilliant Classics aurait pu s’en tenir à faire du super-budget bas de gamme, mais le label était audacieux et malin : plutôt que de faire des produits banals, son Directeur Artistique profitait de la manne financière que procuraient ces achats importants et fermes pour constituer un catalogue cohérent.
C’est ainsi qu’il imagina, après une intégrale Bach, une intégrale Mozart que les clients des drugstores pouvaient se constituer semaine …
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