Léo Ferré, dans son monologue de 1973, “Et Basta”, rapait, avec bien des années d’avance. Son cri : “Quand la merde déborde, c’est encore de la merde”, m’est venu à l’esprit en constatant, désemparé, le débordement de la soupe industrielle néo-classique hors de sa casserole, nouveau terrain de la concurrence entre maisons de disques. Et qui, maintenant, la justifie.
Car Sofiane Pamart a un collègue dans la varietoche au piano, qui s’appelle Riopy :
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