Après l’ENA, ne faudrait-il pas, aussi, démanteler l’INA ?
Pour un amateur de musique classique, les archives du service public de l’audiovisuel détenues et exploitées par l’INA conformément à sa mission et à la loi sont un eldorado merveilleux. On en a besoin pour savoir comment “sonnait” la musique au siècle dernier, pour écouter des œuvres qu’on n’entend plus jamais, et des artistes disparus mal documentés au disque… Oui mais…
Pour ceux qui ne le savent pas, l’INA a sa page assez publicitaire sur Wikipedia, sur laquelle sont décrites ses innombrables missions. En ce qui concerne son action relative aux actifs de la radio nationale, elle est ainsi décrite sur le site du CSA :
“ À sa création le 1er janvier 1975, l’INA hérite du fonds historique des émissions produites par la Radiodiffusion française (RDF, avant 1949), la Radiodiffusion-télévision française (RTF, 1949-1964) et l’Office de radiodiffusion-télévision française (ORTF, 1964-1974). L’INA conserve également le fonds des Actualités cinématographiques françaises (1945-1969), racheté …
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